Toi qui t’es perdu, nous n’aurons pas la chance
De pouvoir te dire je t’aime et de fermer les yeux
C’est bien facile lorsque cette clémence
Nous pend au nez quand on pend aux chevrons
Tes enfants n’auraient jamais pensé connaître cet affront
Ils laisseront venir le temps sur les horizons.
De pouvoir te dire je t’aime et de fermer les yeux
C’est bien facile lorsque cette clémence
Nous pend au nez quand on pend aux chevrons
Tes enfants n’auraient jamais pensé connaître cet affront
Ils laisseront venir le temps sur les horizons.
Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
65 -
Thème
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