Théorie de la régulation
Un nouvel état des savoirs
Robert Boyer
Jean-Pierre Chanteau
Agnès Labrousse
Thomas Lamarche
Constituée dans les années 1970 à partir des pensées marxistes
et keynésiennes, la théorie de la régulation est devenue une
approche économique cruciale qui offre une alternative
robuste à la théorie néoclassique.
approche économique cruciale qui offre une alternative
robuste à la théorie néoclassique.
Depuis l’« état des savoirs » publié en 1995, la théorie de la
régulation a beaucoup évolué. Elle n’est plus seulement identifiée à une
recherche de type macroéconomique (modes de régulation des économies
nationales et du capitalisme mondial). Elle traite aussi désormais des
entreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire…)
comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE…) ainsi
que de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre,
connaissances…).
Faisant intervenir une centaine d’universitaires spécialistes de divers
champs de la socio-économie et prenant en compte cette extension des
champs de recherche régulationnistes, cet ouvrage s’impose comme le «
nouvel état des savoirs ». Il sera un outil de travail efficace et durable pour
la communauté étudiante – du master au doctorat – comme pour les
chercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pour
intégrer les transformations structurelles de la société à une économie
politique renouvelée.recherche de type macroéconomique (modes de régulation des économies
nationales et du capitalisme mondial). Elle traite aussi désormais des
entreprises et de champs sectoriels classiques (automobile, agroalimentaire…)
comme plus originaux (éducation, santé, ESS, RSE…) ainsi
que de problématiques transversales fondamentales (écologie, genre,
connaissances…).
Faisant intervenir une centaine d’universitaires spécialistes de divers
champs de la socio-économie et prenant en compte cette extension des
champs de recherche régulationnistes, cet ouvrage s’impose comme le «
nouvel état des savoirs ». Il sera un outil de travail efficace et durable pour
la communauté étudiante – du master au doctorat – comme pour les
chercheurs et chercheuses avancés et constituera une référence pour
intégrer les transformations structurelles de la société à une économie
Ouvrage coordonné par Robert Boyer, chercheur associé à l’Institut des
Amériques à Paris, Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR en
Sciences économiques à l’université Grenoble Alpes, Agnès Labrousse,
professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et Thomas
Lamarche, professeur en sciences économiques à l’université Paris Cité et
directeur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1,
Paris 8, Paris 10).
Book details
-
Publisher
-
Original text
Yes -
Language
French -
Original language
French -
Publication date
-
Page count
656 -
Theme
-
Collection
About the author
Robert Boyer
Robert Boyer est chercheur associé à l'Institut des Amériques (Paris), ancien directeur de recherche au CNRS et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS).
Jean-Pierre Chanteau
Jean-Pierre Chanteau, maître de conférences HDR en sciences économiques à l'université Grenoble Alpes, est chargé de cours en Masters (UGA, Sciences-Po Grenoble) et directeur de plusieurs thèses en économie du développement. Il a dirigé le Centre de recherche en économie de Grenoble (CREG), est membre du Conseil national des universités (CNU) et a été rédacteur-en-chef de la Revue de la régulation. Il a aussi été président du Réseau international et interdisciplinaire de recherche sur les organisations et le développement durable (RIODD).
Agnès Labrousse
Agnès Labrousse est professeure en sciences économiques à Sciences-Po Lyon et chargée d’enseignement à l’EHESS.
Thomas Lamarche
Docteur en économie, Thomas Lamarche est professeur en sciences économiques à l’université Paris Cité et directeur du laboratoire LADYSS (UMR CNRS, Universités Paris Cité, Paris 1, Paris 8, Paris 10).