Lucas Charles Da Costa

Après un premier élan, il fallait revenir. Saisir encore l’inexplicable instant poétique et lui redonner une nouvelle saveur. La littérature comme reflet de la vie. La poésie comme souffle de l’âme. J’ai trouvé en cette dernière l’occasion de partager mes réflexions, mes sentiments. Rassembler, soutenir réécrire, composer, souffrir, aimer. Surtout aimer. Tant de verbes qui s’unissent parfois en un seul écho pour résumer une vie, l’idée de la voir doucement s’écouler en se disant témoin et acteur de sa propre existence. Alors, certains me diront poète, d’autres artiste. Il y aura toujours du vrai dans la parole d’autrui. Je me présenterai à toi, Lecteur, en me disant vivant, et sujet à toutes les beautés du monde, même celles qui paraissent fades.