Nicole Anglés

« Je veux écrire un livre ». J’ai jeté cette phrase à ma mère du haut de mes dix ans. C’était à Perpignan en 1971. A cette époque, ma grand-mère disait en riant qu’elle ne travaillait pas assez pour payer tous les livres que je dévorais.Quelques feuillets se sont égarés et le temps a passé. Mais je suis restée une lectrice passionnée. Et aujourd’hui, à l’aube de ma seconde vie, j’ai repris la plume et accompli mon rêve.