Je sais trop bien ne pas exister

Je sais trop bien ne pas exister

Quel livre survient quand on croit en avoir fini avec l’écriture? Un livre ludique et irrévérencieux, poétique et sérieux, où l’auteur se fabule en premier ministre, esquisse en écho aux œuvres de David Altmedj son manifeste « Fin du postmodernisme, retour du sacré », erre longuement parmi les gravures de Jonh Henry Walker sur le site Web du Musée McCord, et, au détour d’une phrase sur la télésérie Merlin, continue de tracer les grandes lignes d’un Québec qui soit tout à la fois multiple, féministe, libéré et enthousiaste.

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