Profitant de quelques jours de congé, Anna et sa famille prennent la route pour Boston. En chemin, sa mère propose d’arrêter voir un vieil ami, un peintre solitaire dont elle est sans nouvelles depuis un moment. Une fois sur place, la famille découvre une maison déserte, envahie de toiles d’araignée. De troublants tableaux représentant ces bestioles à huit pattes traînent dans la baraque. Quand Anna et sa mère finissent par repérer le vieil Archibald, il n’est plus que l’ombre de lui-même. Ou devrait-on dire l’ombre d’Irène, la reine des araignées ?
Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
144 -
Thème
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Collection
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Public
À propos de l'auteur
Jocelyn Boisvert
Jocelyn Boisvert est né à Sherbrooke. Après un détour en théâtre et des études en littérature ainsi qu’en scénarisation cinématographique, l’auteur séjourne dans plusieurs coins du Québec avant de s’installer aux Îles-de-la-Madeleine, où il fonde une famille. Il écrit pour la jeunesse depuis un quart de siècle et a publié plus de 80 romans.
Son premier roman, Les 101 peurs du petit Robert, lui a valu une nomination pour le prix Cécile-Gagnon. Ensuite, il s’est fait connaître du grand public par sa série des « livres » publiée chez Soulières éditeur, qui aborde la littérature de manière ludique et inventive : Un livre sans histoire, Ne lisez pas ce livre, Le livre somnifère et Le livre hanté.
Plus récemment, l’auteur a publié son premier roman d’épouvante, Les moustiques (finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général). Il a tellement aimé l’expérience qu’il récidive pour sa plus grande joie avec Oiseaux de malheur.
Récipiendaire du Prix Victor-Martyn-Lynch-Staunton en 2007 (décerné par le Conseil des Arts du Canada à un artiste à mi-carrière s’étant le plus démarqué en littérature), Jocelyn Boisvert arpente les plages des Îles de la Madeleine en se creusant les méninges dans l’espoir d’y déterrer des idées nouvelles et insolites, qu’il pourra ensuite transformer en objets littéraires.
Photo : Emmanuelle Roberge
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