Il y a 60 ans, à Bagneux, des ouvriers coulent les premiers bétons d’une nouvelle cité. La Pierre Plate incarne alors l’espoir d’un monde meilleur. La déception n’en sera que plus cruelle : la cité vieillit mal, le « vivre ensemble » s’étiole. Aujourd’hui le rêve du Grand Paris s’est emparé de la ville, le terminus de la ligne 4 arrive à Bagneux et la Pierre Plate est en travaux perpétuels : rénovation, destruction partielle, reconstruction…
Pendant trois ans, Charles Haquet et le photographe Jean-François Fourmond ont arpenté la cité, rencontré ses habitants, les « historiques » et les nouveaux venus.
Ils leur ont confié leur rapport au lieu, leurs espoirs, leurs doutes, leurs secrets et la façon dont ils vivent cette révolution urbaine. Leurs histoires racontent la France des Trente glorieuses et sont souvent des leçons de vie, des portraits magnifiques et sensibles, loin des caricatures sur les « banlieues ».
Pendant trois ans, Charles Haquet et le photographe Jean-François Fourmond ont arpenté la cité, rencontré ses habitants, les « historiques » et les nouveaux venus.
Ils leur ont confié leur rapport au lieu, leurs espoirs, leurs doutes, leurs secrets et la façon dont ils vivent cette révolution urbaine. Leurs histoires racontent la France des Trente glorieuses et sont souvent des leçons de vie, des portraits magnifiques et sensibles, loin des caricatures sur les « banlieues ».
Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
208 -
Thème
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Collection
À propos de l'auteur
Charles Haquet
Charles Haquet est rédacteur en chef du service Monde à L’Express. Il est l’auteur d’une dizaine de romans et d’essais. Paru en 2014, Les fauves d’Odessa, a remporté
le Prix du roman d’aventures. Jean-François Fourmond est photographe. Dans ses projets documentaires, il parle des oubliés, de la solitude et de la disparition. Il est professeur à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs depuis 1994.
le Prix du roman d’aventures. Jean-François Fourmond est photographe. Dans ses projets documentaires, il parle des oubliés, de la solitude et de la disparition. Il est professeur à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs depuis 1994.