Les Yeux de la conscience

Né en février 1949 à Molsheim en Alsace, Jean-Pierre Schackis se passionne pour les arts plastiques. Il se retrouve co-gestionnaire d’une galerie d’art « Paradoxe » près de la cathédrale de Strasbourg dix ans durant. Pourtant l’artistique loin de sa profession puisqu'il commande la brigade de recherches départementale du Bas-Rhin. Une expérience d’une trentaine d’années qui le plonge dans le monde du crime. Parallèlement, d’autres centres d’intérêts le captivent. En 2000, il crée un groupe de café-théâtre, « La bande à Chax » qu’il alimente de ses textes. Troupe itinérante qui sillonne le nord d’Alsace durant une dizaine d’années. En même temps, il est correspondant local pour les « Dernières Nouvelles d’Alsace », pendant une quinzaine d’années. La retraite devrait le contraindre au repos. Que nenni ! Il devient médiateur et délégué du procureur au tribunal de Saverne. Bientôt il se passionne pour l’histoire d’un tueur fou. Il s’engage comme huissier d’audience afin de ne pas perdre une miette des débats de la Cour d’Assises. L’accumulation de moult expériences et des faits divers alimentent grandement son envie d’écriture et déjà naissent : « Amitiés post mortem », puis : « Et de treize…Amen », suivi de : « G 20 ans Otan mourir » et de : » Au nom du Père et du … » mais aussi de : « Double Je fatal » suivi de « « la route du Rom ». Six polars publiés par les éditions du Bastberg. 2008, il revêt le costume de maire de la petite commune de Bust. Il fera deux mandats. La découverte d’une photo du « Christ des tranchées » va profondément changer sa vie. Quatre années d’investigations et l’aboutissement au monastère de Batalha au Portugal vont donner naissance à Amitiés rouge sang ou le Sang des âmes.Né en février 1949 à Molsheim en Alsace, Jean-Pierre Schackis se passionne pour les arts plastiques. Il se retrouve co-gestionnaire d’une galerie d’art « Paradoxe » près de la cathédrale de Strasbourg dix