Eddy Merckx est au cyclisme ce que Mohamed Ali est à la boxe, Pelé au football, et Michael Jordan au basket. Le Belge a écrasé le cyclisme de la fin des années 1960 au milieu des « seventies ».
Les surnoms en disent parfois long. Pour Eddy Merckx, ce fut le « Cannibale », qui traduisait le respect mâtiné de terreur qu’inspirait le cycliste belge, loin de l’affable et populaire « Poupou » pour
Raymond Poulidor, ou de la déférence affectueuse accordée à Jacques Anquetil avec « Maître Jacques ».
50 ans déjà depuis sa première victoire sur le Tour de France. William Fotheringham a retrouvé et interviewé les acteurs de cette incroyable domination.
Les surnoms en disent parfois long. Pour Eddy Merckx, ce fut le « Cannibale », qui traduisait le respect mâtiné de terreur qu’inspirait le cycliste belge, loin de l’affable et populaire « Poupou » pour
Raymond Poulidor, ou de la déférence affectueuse accordée à Jacques Anquetil avec « Maître Jacques ».
50 ans déjà depuis sa première victoire sur le Tour de France. William Fotheringham a retrouvé et interviewé les acteurs de cette incroyable domination.
Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
286 -
Thème
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Collection
À propos de l'auteur
William Fotheringham
William Fotheringham est un journaliste sportif spécialisé dans le cyclisme et le rugby. En tant que journaliste, il écrit pour The Guardian.